L’épanouissement d’un salarié implique avant tout une activité enrichissante, qui a du sens. Il incombe aussi à l’entreprise d’aménager un environnement propice, favorable à la réalisation du travail. Les conditions adéquates concernent notamment la santé. Comment faire ?

Qu’est-ce que la qualité de vie au travail ?

Le ministère des Solidarités et de la Santé définit la qualité de vie au travail comme étant un équilibre entre la performance globale d’une société et le bien-être ou la satisfaction des travailleurs.

La QVT comprend principalement trois axes associés au bien-être d’un collaborateur, à savoir :

Les conditions de travail

Ce volet concerne notamment la qualité de l’environnement de travail (physique, technique, organisationnel). Il considère en outre les conditions liées à l’emploi lui-même :

• Diversité
• Égalité professionnelle
• Droit à la formation
• Suivi de carrière…

En parallèle, il veille également à analyser les conditions de vie extérieures à l’emploi, particulièrement essentielles :

• Dégradation de la santé
• Équilibre entre vie privée et vie professionnelle
• Temps dans les transports…

La qualité des relations entre collaborateurs

D’après une étude de Malakoff Médéric sur la QVT (2017), ce volet revêt une importance capitale dans le sens où les relations sociales constituent un élément clé de la QVT. En effet, des relations conflictuelles entre salariés sont susceptibles d’entraver directement la qualité de vie au travail.

Le contenu du travail

Le contenu du travail consiste à étudier la cohérence entre les compétences (valeurs-personne) et la charge de travail ou fiche de poste, etc. L’objectif vise ici à apporter de la valeur ajoutée tout en assurant l’implication du salarié.

Comment améliorer la qualité de vie au travail des salariés : la santé au travail

Le champ d’action de la QVT se trouve à l’intersection de trois principales aires d’enjeux : le marché, l’entreprise et la santé ou le bien-être au travail.

Comment un travailleur peut-il contribuer à préserver sa santé et son bien-être au travail ?

La santé au travail des collaborateurs repose sur l’amélioration de la qualité de vie au travail. Elle consiste en l’aménagement d’un environnement sain, propice à la productivité et à la performance des employés. Le Code du travail (art L.4121-1) souligne que l’employeur a l’obligation de mettre en place toutes les ressources nécessaires à la protection de leur santé et leur sécurité.

Cela passe notamment par de bonnes pratiques, habitudes et gestes quotidiens dans l’entreprise, et ce, quel que soit le secteur d’activité.

Bannissez les sources de pollution

Au bureau, il est conseillé de repérer les éventuelles sources de pollution en vue d’en limiter les impacts, voire de les supprimer. À titre d’exemple, des pics d’éléments organiques ou de formaldéhyde sont généralement observés après le passage des équipes de nettoyage. D’autre part, le matériel informatique représente une véritable source de particules fines, de COVs et d’ozone.

Comment bouger quand on passe sa journée assis : les solutions

La sédentarité se traduit par une position allongée ou assise prolongée, et ce, en état d’éveil. Cette station a des répercussions importantes sur la santé, souvent à l’origine des maladies professionnelles, voire des arrêts de travail, comme l’affirme l’expression américaine « Rester assis est le nouveau tabagisme ».

Dans ce contexte, le travail dans un bureau est généralement associé à la sédentarité, elle-même favorable à l’obésité, aux troubles musculosquelettiques comme le mal de dos, au surpoids, aux maladies cardiovasculaires et au diabète de type 2. Par ailleurs, rester assis pendant 8 heures par jour entrave la qualité du sommeil et accroît le risque de décès prématuré d’environ 15 %.

Pour combattre la sédentarité, il est conseillé de prévoir des interruptions dans les temps de station assis et prolongés. À cet effet, plusieurs actions peuvent être entreprises, comme envisager des réunions debout. Autre solution, toutes les heures, prendre quelques minutes pour s’étirer et se lever, ou effectuer des pauses pour faire un peu de marche. Les affiches ou encore les applications mobiles sont l’idéal pour communiquer ces nouveaux dispositifs.

Certaines entreprises investissent même dans des bureaux spécifiques, permettant à la fois une option assise et debout.

Une alimentation saine dans des contenants adaptés

Une alimentation déséquilibrée et peu hygiénique est généralement source de différentes maladies chroniques ou professionnelles, comme le diabète, l’obésité, les maladies cardiovasculaires ou même le cancer. Il va sans dire que ces affections pénalisent le bien-être des employés, et même leur santé mentale, en entraînant des troubles du comportement alimentaire, le stress chronique ou encore la dépression.

Une mauvaise alimentation se traduit principalement par une consommation élevée de produits trop salés, trop sucrés et trop gras, souvent transformés, incluant peu de légumes et de fruits.

De plus, ces aliments sont la plupart du temps suremballés dans des contenants en plastique qui, au chauffage, sont susceptibles de produire des polluants. En migrant dans la nourriture, ces derniers entravent la santé à terme.

L’absence d’hydratation ou la consommation de boissons peu hygiéniques, notamment trop sucrées, entre également en ligne de mire. La consommation de l’eau du robinet est entre autres décriée en raison de sa faible qualité bactériologique.

La solution consiste à mettre à disposition des travailleurs une cantine où sont proposés des choix sains, c’est-à-dire des repas équilibrés, composés essentiellement de fruits et légumes. De même, proposer des encas équilibrés, incluant par exemple des oléagineux, des fruits secs…

L’aménagement d’une fontaine à eau est également indispensable. L’accès à un point d’eau potable et fraîche dans les établissements recevant du public est d’ailleurs préconisé par l’article R4225-4 du Code du travail. À ce titre, le distributeur d’eau constitue la solution idéale, en conciliant à la fois bien-être des travailleurs et respect de l’environnement.

Pour s’aligner avec les lois Agec et Egalim visant à la réduction de la pollution plastique, la fontaine sur réseau d’eau est la formule gagnante, plutôt qu’une machine à bonbonne d’eau. En effet, cette dernière nécessite dans un premier temps l’usage de bouteilles en plastique pour la recharge, sans quoi la qualité bactériologique de l’eau s’en trouverait affectée. Or, cela génère en plus un coût logistique supplémentaire dédié à la main-d’œuvre et au transport.

Pratique, fiable et simple à utiliser, le distributeur d’eau sur réseau nécessite simplement d’être branché à proximité de l’arrivée d’eau de la ville pour délivrer en continu une eau potable et de qualité. Grâce à notre technologie de filtration brevetée, chez Behring, nous produisons une eau 100 % sécurisée, saine et à la qualité bactériologique irréprochable.

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